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Commodore

| VIC 20 | | C 64 | C 64-C | C 128 | C 128D | | plus/4 | C 16 | | CCC (Coin des Calculatrices Commodore) |

— VIC 20 — Après le succès de la série PET, sa première incursion dans le monde de la micro-informatique, Commodore répond au ZX-81 de Sinclair et prévient l'arrivée des constructeurs japonais en lançant une petite machine familiale fort bien conçue. C'est à nouveau une réussite.

— C 64 — Un an seulement après le coup d'essai du VIC 20, Commodore se remet au travail et sort le C 64, une machine à l'architecture magique et aux capacités graphiques et sonores surprenantes pour l'époque, qui assurera sa renommée et deviendra le modèle emblématique de la marque.

— C 64-C — La douche écossaise : paralysée par le flop de la série 264 (voir plus bas), Commodore peine à se renouveler et se contente de proposer un relookage du vénérable C 64 à la mode 128. L'imagination est en berne, et on n'observe ici aucune évolution technologique notable.

— C 128 — Bien décidée à reprendre la main après l'échec de la série 264 (voir plus bas), Commodore lance en 1985 le C 128, un successeur direct du C 64. Mais cette machine hybride ne parviendra jamais réellement à s'imposer. L'année suivante, l'Amiga la poussera gentiment vers la sortie.

— C 128D — Ultime avatar de la gamme 64/128, le C 128D est un modèle à vocation semi-professionnelle, réunissant dans un même boîtier l'électronique d'un C 128 et une unité de disquettes 1571. L'idée n'est pas mauvaise, mais les 16 bits (Amiga et Atari ST en tête) pointent déjà le bout de leur nez.

— plus/4 — Projet à la gestation difficile, la série 264 (plus/4, C 16 et C 116) devait prendre la relève du C 64. Incompatibles avec ce dernier, les machines de la gamme ne rencontreront pas le succès escompté. C'est le premier véritable échec de Commodore.

— C 16 — Composée finalement de trois machines, la série 264 accueille dans ses rangs ce C 16, un plus/4 amputé de 48 Ko de RAM et inséré dans un boîtier de C 64 brun foncé. Avec des capacités graphiques et sonores largement en retrait, elle n'avait aucune chance de séduire le public.

— Calculatrices — Avant de se lancer dans la micro-informatique, Commodore a d'abord produit de nombreux équipements de bureautique, et notamment une gamme très étendue de calculatrices, depuis les modèles à quatre opérations les plus basiques jusqu'aux machines scientifiques les plus complètes. Le CCC – le Coin des Calculatrices Commodore – présente quelques-unes d'entre elles.